Manœuvres! (0409-5)
- Deutsch, Französisch
- 1949-12-02
- Dauer: 00:01:51
Beschreibung
Communiqué :
Aspects et portraits croqués au cours des manœuvres du 1er C.A.
Commentaire :
Les manœuvres du premier cops d’Armée ont servi avant tout à la formation des officiers supérieurs et des commandants d’unités. Nous voici dans le bureau de la direction des manœuvres, où parviennent les rapports d’opérations. / Cette guerre de mouvement où le sang ne coule pas est dirigée par le colonel commandant de corps Borel, qui est parvenu à sa quarantième année de service. Les ordres de la direction des manœuvres sont transmis par téléscripteurs aux commandants des deux partis. / Précisément, le colonel Heuer, chef du parti agresseur, parti rouge, en l’occurrence la brigade légère 1, reçoit par ce moyen un nouvel ordre. Nous le voyons dans le terrain entouré de ses officiers d’Etat-Major, décidant des moyens à employer pour accomplir la mission qui lui a été fixée. Les ordres parviennent par courrier et radio jusqu’aux commandants d’unité, à qui incombe la responsabilité du meilleur emploi des armes et des hommes. C’est ainsi qu’un billet écrit quelque part dans un lointain bureau d’état-major, met toute la machine militaire en mouvement. / Le soldat d’infanterie sait-il, au cours de ses interminables marches, quel jeu se joue? / Il prend garde à ne pas être découvert par les avions, disparaît dans les plis du terrain, met ses armes en position et se rend compte en définitive qu’il n’est que le dernier rouage d’une machine très compliquée. / Enfin le contact avec l’ennemi devient une réalité, et l’attaque, observée par le colonel divisionnaire Corbaz se poursuit. /
Communiqué_0409.pdf
Aspects et portraits croqués au cours des manœuvres du 1er C.A.
Commentaire :
Les manœuvres du premier cops d’Armée ont servi avant tout à la formation des officiers supérieurs et des commandants d’unités. Nous voici dans le bureau de la direction des manœuvres, où parviennent les rapports d’opérations. / Cette guerre de mouvement où le sang ne coule pas est dirigée par le colonel commandant de corps Borel, qui est parvenu à sa quarantième année de service. Les ordres de la direction des manœuvres sont transmis par téléscripteurs aux commandants des deux partis. / Précisément, le colonel Heuer, chef du parti agresseur, parti rouge, en l’occurrence la brigade légère 1, reçoit par ce moyen un nouvel ordre. Nous le voyons dans le terrain entouré de ses officiers d’Etat-Major, décidant des moyens à employer pour accomplir la mission qui lui a été fixée. Les ordres parviennent par courrier et radio jusqu’aux commandants d’unité, à qui incombe la responsabilité du meilleur emploi des armes et des hommes. C’est ainsi qu’un billet écrit quelque part dans un lointain bureau d’état-major, met toute la machine militaire en mouvement. / Le soldat d’infanterie sait-il, au cours de ses interminables marches, quel jeu se joue? / Il prend garde à ne pas être découvert par les avions, disparaît dans les plis du terrain, met ses armes en position et se rend compte en définitive qu’il n’est que le dernier rouage d’une machine très compliquée. / Enfin le contact avec l’ennemi devient une réalité, et l’attaque, observée par le colonel divisionnaire Corbaz se poursuit. /
Communiqué_0409.pdf
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